Dans la prison de Bicêtre,un condamné à mort ( le narrateur) attend le jour de son exécution. Jour après jour, il note ses angoisses, ses espoirs fous et ses pensées.Le narrateur nous rappelle les circonstances de son procès ( chapitres 1/9 ).Puis il nous décrit sa cellule ( chapitre 10/12 ). Il évoque ensuite le départ des forçats au bagne de Toulon ( chap 13/15 ). Il nous rapporte la complainte en argot d'une jeune femme à l'infirmerie ( chapitre 16 ) .Désespéré, il décide alors de s'évader ( chapitre17). on vient lui apprendre que son exécution aura lieu le jour même.( chapitre 18/19 ).
Le narrateur sera transféré ensuite à la concièrgerie ( chap 22) , il y rencontre un autre condamné à mort ( chap 23/24). Son séjour en prison devient de plus en plus suffocant .il sombre dans les hallucinations et les cauchemars .Il se demande commenet on meurt sous la guillotine. ( chap 27). Il rçoit après la visite d'un prêtre qu'il trouve placide et sans compassion devant son état. ( chap30)
La visite de sa petite fille Marie sera évoquée au chapitre 43. Elle ne le reconnaitra pas, ce qui l'attriste profondément.
Puis vient l'ultime ligne droite avant la mort; son dernier jour de condamné. Sur son passage de la conciergerie à la place de Grève où se dresse l'échaffaud, la foule rit et applaudit: le condamné était donné en spectacles à cette foule qu'il n 'a jamais aimé d'ailleurs. Devant le spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitié mais il sait déja que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche pour décapiter le condamné
Bref, l'oeuvre peut être divisée en trois parties relatives à trois lieux différents: Bicêtre, la conciiergerie et l'hôtel de ville:
-Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson.
-La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec un autre condamné à mort puis avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie.
-L'Hôtel de Ville : le voyage à Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève où est installé l'échafaud

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* Le dernier jour d'un condamné à mort *

Dans la prison de Bicêtre,un condamné à mort ( le narrateur) attend le jour de son exécution. Jour après jour, il note ses angoisses, ses espoirs fous et ses pensées.Le narrateur nous rappelle les circonstances de son procès ( chapitres 1/9 ).Puis il nous décrit sa cellule ( chapitre 10/12 ). Il évoque ensuite le départ des forçats au bagne de Toulon ( chap 13/15 ). Il nous rapporte la complainte en argot d'une jeune femme à l'infirmerie ( chapitre 16 ) .Désespéré, il décide alors de s'évader ( chapitre17). on vient lui apprendre que son exécution aura lieu le jour même.( chapitre 18/19 ).
Le narrateur sera transféré ensuite à la concièrgerie ( chap 22) , il y rencontre un autre condamné à mort ( chap 23/24). Son séjour en prison devient de plus en plus suffocant .il sombre dans les hallucinations et les cauchemars .Il se demande commenet on meurt sous la guillotine. ( chap 27). Il rçoit après la visite d'un prêtre qu'il trouve placide et sans compassion devant son état. ( chap30)
La visite de sa petite fille Marie sera évoquée au chapitre 43. Elle ne le reconnaitra pas, ce qui l'attriste profondément.
Puis vient l'ultime ligne droite avant la mort; son dernier jour de condamné. Sur son passage de la conciergerie à la place de Grève où se dresse l'échaffaud, la foule rit et applaudit: le condamné était donné en spectacles à cette foule qu'il n 'a jamais aimé d'ailleurs. Devant le spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitié mais il sait déja que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche pour décapiter le condamné
Bref, l'oeuvre peut être divisée en trois parties relatives à trois lieux différents: Bicêtre, la conciiergerie et l'hôtel de ville:
-Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson.
-La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec un autre condamné à mort puis avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie.
-L'Hôtel de Ville : le voyage à Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève où est installé l'échafaud

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Antigone * symboles *

 Thèmes principaux

 La solitude
 Antigone
Dès le début, le Prologue nous annonce qu'Antigone va "se dresser seule en face du
monde, seule en face de Créon" (p. 9). Antigone espérait l'aide de sa soeur pour ensevelir
son frère mais Ismène a renoncé : "Nous ne pouvons pas. [...] Il nous ferait mourir." (p.
23), Ismène la traite de folle : "J'ai bien pensé toute la nuit. Tu es folle." (p. 23).
Sa nourrice ne la comprend pas non plus : "Elle est ancée et à quatre heures du matin
elle quitte son lit pour aller courir avec un autre." (p. 18), elle s'e orce de prendre soin de
sa santé : "je suis là comme une idiote au lieu de lui donner quelque chose de chaud." (p.
21).
Créon non plus ne peut expliquer son comportement : "Pourquoi fais-tu ce geste, alors?
Pour les autres, pour ceux qui y croient? Pour les dresser contre moi? [...] Ni pour les autres,
ni pour ton frère? Pour qui alors?"
Antigone elle même veut agir seule sans comprendre les autres : "Je ne veux pas comprendre.
C'est bon pour vous. Moi je suis là pour autre chose que pour comprendre. Je suis
là pour vous dire non et mourir.". Avant son exécution, elle dit : "Je suis toute seule.".

 Créon
Encore une fois, c'est le Prologue qui nous le présente : "Créon est seul. Seul avec son
petit page qui est trop petit et qui ne peut rien non plus pour lui.". Sa femme Eurydice ne
lui parlera pas, "elle tricotera pendant toute la tragédie jusqu'à ce que son tour vienne de
se lever et de mourir." (p. 11).
Pour accomplir son devoir, il ne compte que sur lui : "Mais OEdipe et ses ls sont morts.
Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches et il a pris leur place.", "Et puis,
au matin, des problèmes précis se posent, qu'il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme
un ouvrier au seuil de sa journée." (p. 11).
Lorsqu'Antigone est en train de mourir, Hémon le supplie et il répond : "On est tout
seul, Hémon. Le monde est nu." (p. 105). A la n de la tragédie, le Choeur lui dit qu'il est
seul, sa réponse est : "Tout seul, oui." et il continue sa "sale besogne" (p. 121)...


 Le bonheur
Dès le début Ismène parle du bonheur à Antigone : "Ton bonheur est là devant toi
et tu n'as qu'à le prendre. Tu es ancée, tu es jeune, tu es belle..." (p. 29), puis c'est au
bonheur : "Tu va me mépriser encore, mais de découvrir cela, tu verras, c'est la consolation
dérisoire de vieillir, la vie, ce n'est pas peut-être tout de même que le bonheur.", Antigone
réagit, perdu : "Quel sera-t-il, mon bonheur? Quelle femme heureuse deviendra-t-elle, la
petite Antigone? Quelles pauvretés faudra-t-il qu'elle fasse elle aussi, jour par jour, pour
arracher avec ses dents son petit lambeau de bonheur?" (p.92).
Elle veut rester jeune : "Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur! [...] Moi, je veux
tout, tout de suite, et que ce soit entier ou alors je refuse! [...] Je veux être sûre de
tout aujourd'hui et que cela soit aussi beau que quand j'étais petite". (p. 95), elle refuse
la médiocrité : "Hémon ne doit plus pâlir qand je pâlis, s'il ne doit plus me croire morte
quand je suis en retard de cinq minutes, [...], alors je n'aime plus Hémon!" (p. 93).

Antigone les discours

Le Prologue, personnage héritier du chef de choeur, présente les protagonistes, leurs caractères et leurs rôles : Antigone, sa soeur Ismène, son fiancé Hémon, le roi Créon qui est aussi le père d'Hémon, Eurydice la femme de Créon, la nourrice d'Antigone, le messager et enfin les trois gardes.

Antigone rentre chez elle, à l'aube, après une promenade nocturne, elle est surprise par sa nourrice qui lui adresse quelques reproches. La nourrice sort et Ismène dissuade Antigone d'ensevelir le corps de son frère Polynice et ainsi d'enfreindre l'ordre de Créon. Sans succès, Antigone n'entend pas devenir raisonnable.

Antigone se retrouve à nouveau seule avec sa nourrice, elle pense à la mort, la nourrice la réconforte. Ensuite arrive Hémon à qui elle prie de lui pardonner pour la dispute de la veille. Hémon la réconforte en lui déclarant son amour. Antigone lui annonce ensuite qu'elle ne pourra pas l'épouser en lui disant qu'il saura pourquoi "demain".

Ismène essaie encore une fois de convaincre Antigone de renoncer à son projet, mais elle apprend qu'il a déjà débuté. Un des garde du roi arrive alors pour annoncer à Créon que quelqu'un à recouvert de terre le corps de Polynice. Créon ne veut pas que la nouvelle se répande.

Le choeur intervient pour donner sa vision de la tragédie et annonce le "petit coup de pouce pour que cela démarre". Antigone se fait arrêter par un garde pendant qu'elle recouvre pour la seconde fois le cadavre, elle est emmenée chez Créon qui est prêt à la sauver et oublier l'affaire. Antigone refuse et se révolte, elle veut sa mort.

Ismène arrive, elle veut mourir avec sa soeur, elle est prête aussi à aller recouvrir le corps de Polynice mais Antigone refuse. Créon appelle la garde qui emmène Antigone. Hémon supplie son père de l'épargner mais il refuse car c'est elle qui voulait mourir. Hémon s'enfuit.

Antigone reste seule avec un garde, elle lui dicte une lettre qu'elle veut adresser à Hémon. Le messager annonce la mort d'Antigone ainsi que celle d'Hémon. Le Choeur apprends ensuite à Créon que sa femme Eurydice s'est donnée la mort en apprenant la mort de son fils. Il ne reste plus que Créon et ses gardes...

Antigone: Présentation des personnages principaux

Antigone
Fille d'OEdipe
Physique
Le Prologue nous la décrit comme la petite "maigre jeune lle noiraude" (p. 9). D'après
Ismène : "Pas belle comme nous, mais autrement" (p. 29), d'après sa nourrice "elle n'est
pas assez coquette!" (p. 17) et d'après elle-même : "je suis laide!" (p. 96), "je suis noire
et maigre" (p. 41). Antigone aurait voulu être un garçon : "Ai-je assez pleuré d'être une
lle!" (p. 29).
Moral et évolution
Antigone aime la vie : "Qui se levait la première, le matin, rien que pour sentir l'air
froid sur sa peau nue?" (p. 28), "Moi aussi j'aurais bien voulu ne pas mourir." (p. 24) et
elle veut garder ses joies et ses illusions d'enfance. C'est une lle rebelle : "Une fois je t'ai
attachée à un arbre et je t'ai coupé tes cheveux, tes beaux cheveux..." (p. 22), "la petite
Antigone, la sale bête, l'entêtée, la mauvaise [...]. Elle n'avait qu'à ne pas désobéir!" (p.
25), c'est celle qui dit non et ne veux comprendre : "Il fallait comprendre qu'on ne doit pas
manger tout à la fois, donner tout ce qu'on a dans ses poches au mendiant qu'on rencontre
[...]. Comprendre. Toujours comprendre. Moi, je ne veux pas comprendre." (p. 26). Elle
déteste aussi l'habitude : "s'il ne doit plus me croire morte quand je suis en retard de cinq
minutes, [...], alors je n'aime plus Hémon!" (p. 93).
Quelques instants avant de mourir, elle ne sais plus pourquoi elle meurt : "Je ne sais
plus pourquoi je meurs." (p. 115), elle est morte pour rien, si ce n'est pour o rir une
ré exion sur la vie...

Créon
Roi de Thèbes, oncle d'Antigone.
Physique
Le Prologue nous le présente comme étant un "homme robuste, aux cheveux blancs
[...]. Il a des rides, il est fatigué." (p. 11).
Morale et évolution
Le Prologue nous présente Créon comme un homme seul : "Créon est seul", sa femme
Eurydice "ne lui est d'aucun secours" (p. 11), son page "ne peut rien non plus pour lui"
(p. 12) et à la n de la tragédie le Choeur lui dit : "Et tu es tout seul maintenant, Créon."
(p. 121).
C'est un homme courageux, il a dû assumer le métier de roi : "Mais OEdipe et ses ls
sont morts. Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches et il a pris leur place."
(p.11), "Un matin, je me suis réveillé roi de Thèbes. Et Dieu sait si j'aimais autre chose
dans la vie que d'être puissant..." (p. 78). Il fait son travail du mieux qu'il peut : "des
problèmes précis se posent, qu'il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier
au seuil de sa journée." (p. 11).
Il a de l'a ection pour sa nièce Antigone mais ne la comprend pas, il va même essayer
de la sauver : "je vais tout de même perdre le temps qu'il faudra et te sauver, petite peste."
(p. 76). Après l'exécution d'Antigone qu'il a été contraint d'entreprendre et qui a entrainée
la mort de son ls et de sa femme, il continue son travail quotidien : "Eh bien, si nous
avons conseil, petit, nous allons y aller." (p. 122).
Après avoir ordonné la mort, il attend la sienne : "Créon va commencer à attendre la
mort" (p. 123). Pour lui, tout est absurde...
Hémon
Fils de Créon, ancé d'Antigone.
Physique
Jeune prince vigoureux.
Morale et évolution
Il refuse de devenir un homme comme son père : "Regarde-moi, c'est cela devenir un
homme, voir le visage de son père en face, un jour." (p. 105), il veut rester enfant. Il pense
que son père peut tout faire : "Tu es le maître" (p. 102), "Tu es encore puissant, toi,
comme lorsque j'était petit.", "Je suis trop seul et le monde est trop nu si je ne peux plus
t'admirer." (p. 104).
Lors de la mort d'Antigone qu'il ne supporte pas, "Hémon [...] se plonge l'épée dans le
ventre et il s'étend contre Antigone" (p. 119).
Ismène
Soeur d'Antigone.
Physique
Belle jeune lle charmante et coquette aux yeux d'Antigone, elle aime aller au bal :
"Cela me rassure ce matin, que tu sois belle.", "et je t'ai coupé tes cheveux, tes beaux
cheveux...", "toutes ces belles mèches lisses et bien ordonnées autour de la tête!" (p. 22),
"Ismène est rose et dorée comme un fruit." (p. 41).
Morale et évolution
Elle n'est pas courageuse et a peur de mourir : "Moi, tu sais, je ne suis pas très courageuse"
(p. 27), "Et sou rir? Il faudra sou rir, sentir que la douleur monte, qu'elle est
arrivée au point où l'on ne peut plus la supporter; qu'il faudrait qu'elle s'arrête, mais
qu'elle continue pourtant et monte encore, comme une voix aiguë... Oh! je ne peux pas, je
ne peux pas...". Elle souhaite raisonner sa soeur : "Essaie de comprendre au moins!" (p.
25).
Pourtant à la n de la pièce Ismène veut accompagner sa soeur dans la mort : "Antigone,
pardon! Antigone, tu vois, je viens, j'ai du courage. J'irai maintenant avec toi!" (p. 97),
"Si vous la faites mourir, il faudra me faire mourir avec elle!" (p. 97).

Antigone la tragédie

Antigone (en grec ancien Ἀντιγόνη / Antigónê) est une tragédie grecque de Sophocle dont la date de création2 se situe en 441 av. J.-C. Elle appartient au cycle des pièces thébaines, avec Œdipe roi et Œdipe à Colone, décrivant le sort tragique d'Œdipe (roi de Thèbes) et de ses descendants.
Dans l'économie du cycle, Antigone est la dernière pièce, mais elle a été écrite avant les autres.

Antigone étude

Le Prologue, personnage héritier du chef de choeur, présente les protagonistes, leurs
caractères et leurs rôles : Antigone, sa soeur Ismène, son fiancé Hémon, le roi Créon qui est
aussi le père d'Hémon, Eurydice la femme de Créon, la nourrice d'Antigone, le messager
et enfin les trois gardes.
Antigone rentre chez elle, à l'aube, après une promenade nocturne, elle est surprise
par sa nourrice qui lui adresse quelques reproches. La nourrice sort et Ismène dissuade
Antigone d'ensevelir le corps de son frère Polynice et ainsi d'enfreindre l'ordre de Créon.
Sans succès, Antigone n'entend pas devenir raisonnable.
Antigone se retrouve à nouveau seule avec sa nourrice, elle pense à la mort, la nourrice
la réconforte. Ensuite arrive Hémon à qui elle prie de lui pardonner pour la dispute de
la veille. Hémon la réconforte en lui déclarant son amour. Antigone lui annonce ensuite
qu'elle ne pourra pas l'épouser en lui disant qu'il saura pourquoi "demain".
Ismène essaie encore une fois de convaincre Antigone de renoncer à son projet, mais
elle apprend qu'il a déjà débuté. Un des garde du roi arrive alors pour annoncer à Créon
que quelqu'un à recouvert de terre le corps de Polynice. Créon ne veut pas que la nouvelle
se répande.
Le choeur intervient pour donner sa vision de la tragédie et annonce le "petit coup
de pouce pour que cela démarre". Antigone se fait arrêter par un garde pendant qu'elle
recouvre pour la seconde fois le cadavre, elle est emmenée chez Créon qui est prêt à la
sauver et oublier l'affaire. Antigone refuse et se révolte, elle veut sa mort.
Ismène arrive, elle veut mourir avec sa soeur, elle est prête aussi à aller recouvrir le corps
de Polynice mais Antigone refuse. Créon appelle la garde qui emmène Antigone. Hémon
supplie son père de l'épargner mais il refuse car c'est elle qui voulait mourir. Hémon s'enfuit.
Antigone reste seule avec un garde, elle lui dicte une lettre qu'elle veut adresser à
Hémon. Le messager annonce la mort d'Antigone ainsi que celle d'Hémon. Le Choeur
apprends ensuite à Créon que sa femme Eurydice s'est donnée la mort en apprenant la
mort de son fils. Il ne reste plus que Créon et ses gardes...


Antigone

Le Prologue, personnage héritier du chef de choeur, présente les protagonistes, leurs
caractères et leurs rôles : Antigone, sa soeur Ismène, son ancé Hémon, le roi Créon qui est
aussi le père d'Hémon, Eurydice la femme de Créon, la nourrice d'Antigone, le messager
et en n les trois gardes.
Antigone rentre chez elle, à l'aube, après une promenade nocturne, elle est surprise
par sa nourrice qui lui adresse quelques reproches. La nourrice sort et Ismène dissuade
Antigone d'ensevelir le corps de son frère Polynice et ainsi d'enfreindre l'ordre de Créon.
Sans succès, Antigone n'entend pas devenir raisonnable.
Antigone se retrouve à nouveau seule avec sa nourrice, elle pense à la mort, la nourrice
la réconforte. Ensuite arrive Hémon à qui elle prie de lui pardonner pour la dispute de
la veille. Hémon la réconforte en lui déclarant son amour. Antigone lui annonce ensuite
qu'elle ne pourra pas l'épouser en lui disant qu'il saura pourquoi "demain".
Ismène essaie encore une fois de convaincre Antigone de renoncer à son projet, mais
elle apprend qu'il a déjà débuté. Un des garde du roi arrive alors pour annoncer à Créon
que quelqu'un à recouvert de terre le corps de Polynice. Créon ne veut pas que la nouvelle
se répande.
Le choeur intervient pour donner sa vision de la tragédie et annonce le "petit coup
de pouce pour que cela démarre". Antigone se fait arrêter par un garde pendant qu'elle
recouvre pour la seconde fois le cadavre, elle est emmenée chez Créon qui est prêt à la
sauver et oublier l'a aire. Antigone refuse et se révolte, elle veut sa mort.
Ismène arrive, elle veut mourir avec sa soeur, elle est prête aussi à aller recouvrir le corps
de Polynice mais Antigone refuse. Créon appelle la garde qui emmène Antigone. Hémon
supplie son père de l'épargner mais il refuse car c'est elle qui voulait mourir. Hémon s'enfuit.
Antigone reste seule avec un garde, elle lui dicte une lettre qu'elle veut adresser à
Hémon. Le messager annonce la mort d'Antigone ainsi que celle d'Hémon. Le Choeur
apprends ensuite à Créon que sa femme Eurydice s'est donnée la mort en apprenant la
mort de son ls. Il ne reste plus que Créon et ses gardes...

La boîte à merveilles situer un passage

La boîte à merveilles situer un passage :


Situer un texte ou un passage, c'est donner à qui ne connaît pas l'œuvre dont il est tiré les éléments nécessaires pour comprendre qui sont les personnages en présence, où ils sont, ce qu'ils font ou ce qui leur arrive, pourquoi, à quel moment de l'histoire.

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La boîte à merveilles Schéma narratif

Le schéma narratif d'un récit constitue le déroulement d'un récit où des actions successives s'enchaînent logiquement.
il est constitué de 5 éléments :
  • Situation initiale, qui présente les éléments nécessaires à la mise en route du récit et à la compréhension de celui-ci ; dans un récit au passé, les verbes y sont souvent à l'imparfait, la situation du héros n'évolue pas, elle reste stable ;
  • Élément perturbateur, ou élément déclencheur, qui modifie la situation initiale et fait perdre l'équilibre de cette dernière, et est introduit par un connecteur temporel ;
  • Péripéties(action) ou nœud (toutes les actions), qui sont les événements provoqués par l’élément modificateur et qui entraînent la ou les actions entreprises par les héros pour atteindre leur but ; dans un récit au passé, les verbes y sont souvent au passé simple. Cet élément est généralement conclu par un point culminant, ou climax : c'est le plus haut point de l'histoire, c'est là où toute la tension des péripéties va finalement exploser. Il se situe, la plupart du temps, vers la fin (avant le dénouement) ;
  • Dénouement (éléments de résolution), qui met un terme aux actions et conduit à la situation finale ;
  • Situation finale, c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable. Pour les contes, la situation du "héros" s'améliore, mais, dans d'autres types d'histoires, elle peut se dégrader.







Schéma narratif :
 Etat initial :
L'auteur-narrateur personnage  vit avec ses parents. Rien ne perturbe sa vie heureuse. Cette phase occupe une place importante dans le récit (Ch. I jusqu'au Ch. VIII). L'ampleur de cette étape traduit la félicité dans laquelle baigne le petit enfant. D'ailleurs, il est plongé dans un monde merveilleux.
Elément perturbateur :
Ce qui trouble cette félicité c'est la ruine du père qui a perdu son capital : l'argent qu'il portait sur lui est tombé quelque part dans un souk.
Péripéties :
Le voyage du père à la campagne, où il exerce un travail pénible afin de pouvoir amasser de l'argent nécessaire pour se rétablir dans son atelier. (Ch. VIII, IX, X, XI). Le congé accordé au petit qui ne va pas à l'école coranique à cause de sa faiblesse. La tristesse de la mère qui se rend aux mausolées et consulte les voyants.
Dénouement :
Le retour du père.
Situation finale :
Le retour de l'équilibre : le bonheur. La réouverture par le petit de sa boite à Merveilles.



 




La boîte à merveilles résumé des chapitres


resumé de chaque chapitre pour la boite à merveille


L'hiver
Chapitre I
Dar Chouafa
Deux éléments déclenchent le récit : la nuit et la solitude. Le poids de la solitude. Le narrateur y songe et part à la recherche de ses origines : l'enfance.Un enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants qu'il côtoie. Il est fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes invisibles. A travers les souvenirs de l'adulte et le regard de l'enfant, le lecteur découvre la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante. La maison porte son nom : Dar Chouafa. On fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa, et on passe au premier où Rahma, sa fille Zineb et son mari Aouad, fabricant de charrues disposaient d'une seule pièce. Le deuxième étage est partagé avec Fatma Bziouya. L'enfant lui habite un univers de fable et de mystère, nourri par les récits de Abdellah l'épicier et les discours de son père sur l'au-delà. L'enfant de six ans accompagne sa mère au bain maure. Il s'ennuie au milieu des femmes, Cet espace de vapeur, de rumeurs, et d'agitation était pour lui bel et bien l'Enfer. Le chapitre se termine sur une sur une querelle spectaculaire dont les acteurs sont la maman de l'enfant et sa voisine Rahma.
Chapitre II
Visite d'un sanctuaire
Au Msid, école coranique, l'enfant découvre l'hostilité du monde et la fragilité de son petit corps. Le regard du Fqih et les coups de sa baguette de cognassier étaient source de cauchemars et de souffrance. A son retour, il trouve sa mère souffrante. La visite que Lalla Aicha, une ancienne voisine, rend ce mardi à Lalla Zoubida, la mère de l'enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb. L'enfant pourra boire de l'eau de sanctuaire et retrouvera sa gaieté et sa force. L'enfant découvre l'univers du mausolée et ses rituels. Oraisons, prières et invocations peuplaient la Zaouia. Le lendemain, le train train quotidien reprenait. Le père était le premier à se lever. Il partait tôt à son travail et ne revenait que tard le soir. Les courses du ménage étaient assurées par son commis Driss. La famille depuis un temps ne connaissait plus les difficultés des autres ménages et jouissait d'un certain confort que les autres jalousaient.(rahma donna a sidi.m un cabuchonde verre)
Chapitre III
Le repas des mendiants aveugles
Zineb, la fille de Rahma est perdue. Une occasion pour lalla Zoubida de se réconcilier avec sa voisine. Tout le voisinage partage le chagrin de Rahma. On finit par retrouver la fillette et c'est une occasion à fêter. On organise un grand repas auquel on convie=inviter une confrérie de mendiants aveugles. Toutes les voisines participent à la tâche. Dar Chouafa ne retrouve sa quiétude=tranquillite et son rythme que le soir.
Le printemps
Chapitre IV
Les ennuis de Lalla Aicha
Les premiers jours du printemps sont là. Le narrateur et sa maman rendent visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la journée chez cette ancienne voisine. Une journée de potins pour les deux femmes et de jeux avec les enfants du voisinage pour le narrateur. Le soir, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari da Lalla Aîcha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier avait renié ses dettes et même plus avait prétendu avoir versé la moitié du capital de l'affaire. Les juges s'étaient prononcés en faveur de Abdelkader. L'enfant, lui était ailleurs, dans son propre univers, quand ce n'est pas sa boîte et ses objets magiques, c'est le légendaire Abdellah l'épicier et ses histoires. Personnage qu'il connaît à travers les récits rapportés par son père. Récits qui excitèrent son imagination et l'obsédèrent durant toute son enfance
Chapitre V
L'école coranique.
Journée au Msid. Le Fqih parle aux enfants de la Achoura. Ils ont quinze jours pour préparer la fête du nouvel an. Ils ont congé pour le reste de la journée. Lalla Aîcha , en femme dévouée, se dépouille de ses bijoux et de son mobilier pour venir au secours de son mari. Sidi Mohamed Ben Tahar, le coiffeur, un voisin est mort. On le pleure et on assiste à ses obsèques. Ses funérailles marquent la vie du voisinage et compte parmi les événements ayant marqué la vie d de l'enfant.
Chapitre VI
Préparatifs de la fête.
Les préparatifs de la fête vont bon train au Msid. Les enfants constituent des équipes. Les murs sont blanchis à la chaux et le sol frotté à grande eau. L'enfant accompagne sa mère à la Kissaria. La fête approchait et il fallait songer à ses habits pour l'occasion. Il portera un gilet, une chemise et des babouches neuves. De retour à la maison, Rahma insiste pour voir les achats fait à la Kissaria.Le narrateur est fasciné par son récit des mésaventures de Si Othman, un voisin âgé, époux de Lalla Khadija, plus jeune que lui.
Chapitre VII
La fête de l'Achoura.
La fête est pour bientôt. Encore deux jours. Les femmes de la maison ont toutes acheté des tambourins de toutes formes. L'enfant lui a droit à une trompette. L'essai des instruments couvre l'espace d'un bourdonnement sourd. Au Msid, ce sont les dernières touches avant l e grand jour. Les enfants finissent de préparer les lustres. Le lendemain , l'enfant accompagne son père en ville. Ils font le tour des marchands de jouets et ne manqueront pas de passer chez le coiffeur. Chose peu appréciée par l'enfant. Il est là à assister à une saignée et à s'ennuyer des récits du barbier. La rue après est plus belle, plus enchantée. Ce soir là, la maison baigne dans l'atmosphère des derniers préparatifs.
Le jour de la fête, on se réveille tôt, Trois heures du matin. L'enfant est habillé et accompagne son père au Msid célébrer ce jour exceptionnel. Récitation du coran, chants de cantiques et invocations avant d'aller rejoindre ses parents qui l'attendaient pour le petit déjeuner. Son père l'emmène en ville.
A la fin du repas de midi, Lalla Aicha est là. Les deux femmes passent le reste de la journée à papoter et le soir, quand Lalla Aicha repart chez elle, l'enfant lassé de son tambour et de sa trompette est content de retrouver ses vieux vêtements.
L'été.
Chapitre VIII
Les bijoux du malheur.
L'ambiance de la fête est loin maintenant et la vie retrouve sa monotonie et sa grisaille. Les premiers jours de chaleur sont là. L'école coranique quitte la salle du Msid, trop étroite et trop chaude pour s'installer dans un sanctuaire proche. L'enfant se porte bien et sa mémoire fait des miracles. Son maître est satisfait de ses progrès et son père est gonflé d'orgueil. Lalla Zoubida aura enfin les bracelets qu'elle désirait tant. Mais la visite au souk aux bijoux se termine dans un drame. La mère qui rêvait tant de ses bracelets que son mari lui offre, ne songe plus qu'a s'en débarrasser. Ils sont de mauvais augure et causeraient la ruine de la famille. Les ennuis de Lalla Aicha ne sont pas encore finis. Son mari vient de l'abandonner. Il a pris une seconde épouse, la fille de Si Abderahmen, le coiffeur.
Si l'enfant se consacre avec assiduité à ses leçons, il rêve toujours autant. Il s'abandonne dans son univers à lui, il est homme, prince ou roi, il fait des découvertes et il en veut à mort aux adultes de ne pas le comprendre. Sa santé fragile lui joue des tours. Alors que Lalla Aîcha racontait ses malheurs, il eut de violents maux de tête et fut secoué par la fièvre. Sa mère en fut bouleversée.
Chapitre IX
Un ménage en difficulté.
L'état de santé de l'enfant empire. Lalla Zoubida s'occupe de lui nuit et jour. D'autres ennuis l'attendent. Les affaires de son mari vont très mal. Il quitte sa petite famille pour un mois. Il part aux moissons et compte économiser de quoi relancer son atelier. L'attente, la souffrance et la maladie sont au menu de tous les jours et marquent le quotidien de la maison. Lalla Zoubida et Lalla Aicha, deux amies frappées par le malheur, décident de consulter un voyant, Sidi Al Arafi.
Chapitre X
Superstitions.
Les conseils , prières et bénédictions de Sidi Al Arafi rassurèrent les deux femmes. L'enfant est fasciné par le voyant aveugle. Lalla Zoubida garde l'enfant à la maison. Ainsi, elle se sent moins seule et sa présence lui fait oublier ses malheurs. Chaque semaine, ils vont prier sous la coupole d'un saint. Les prédications de Sidi A Arafi se réalisent. Un messager venant de la compagne apporte provisions, argent et bonne nouvelles de Sidi Abdesalam. Lalla Aicha invite Lalla Zoubida. Elle lui réserve une surprise. Il semble que son mari reprend le chemin de la maison.
ChapitreXI
Papotage de bonnes femmes.
Thé et papotage de bonnes femmes au menu chez Lalla Aicha. Salama, la marieuse, est là. Elle demande pardon aux deux amies pour le mal qu'elle leur a fait. Elle avait arrangé le mariage de Moulay Larbi. Elle explique que ce dernier voulait avoir des enfants. Elle apporte de bonnes nouvelles. Plus rien ne va entre Moulay Larbi et sa jeune épouse et le divorce est pour bientôt. Zhor, une voisine, vient prendre part à la conversation. Elle rapporte une scène de ménage. Les femmes la fille du coiffeur, épouse de Moualy Larbi , de sa famille.le flot des potins et des médisances. N'en fint pas et l'enfant lui , qui ne comprenait pas le sens de tous les mots est entraîné par la seule musique des syllabes.
Chapitre XII
Un conte de fée a toujours une chute heureuse.
La grande nouvelle est rapportée par Zineb. Maâlem Abdslem est de retour. Toute la maison est agitée. Des you you éclatent sur la terrasse Les voisines font des vœux. L'enfant et sa mère sont heureux . Driss, est arrivé à temps annoncer que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé. La conversation de Driss El Aouad et de Moulay Abdeslem, ponctuée de verres de thé écrase l'enfant. Il est pris de fatigue mais ne veut point dormir. Il se sent triste et seul. Il tire sa boite à merveille de dessous son lit, les figures de ses rêves l'y attendaient. Fin.